Ginevra Weasley Courageux et hardi
Messages : 38 Age : 42 Année : 1ère année Age du personnage : Onze ans.
Feuille de personnage Citation: « tout est possible quand on a suffisamment de culot » Multi-comptes: Liam Jefferson. Relations:
| Sujet: [Gryffondor] GINEVRA ↝ omagad he spoke to me ! Mar 29 Mai - 19:04 | |
| Ginevra Molly Wesley
11 ans, Sang pur JOUEUR ♥ Votre petit nom =) : Lou. ♥ Comment avez-vous connu le forum ? Mystère et boule de gomme. ♥ Avez-vous bien lu le règlement ? code validé par Liam ♥ Personnalité désirée pour votre avatar : Bonnie Wright la magnifique. IDENTITÉ ♠ Nom : Wesley ♠ Prénom(s) : Ginevra Molly, dite Ginny ♠ Date de naissance : 11 aout 1981 ♠ Âge : 11 ans ♠ Année : 1ère année ♠ Lieu de naissance : Le Terrier, Devon, Angleterre. ♠ Lieu de résidence : Le Terrier. ♠ Poste prédéfini ? Oui ♥ ♠ Sang : Pur. ♠ Baguette : La vieille baguette d'un de ses frères, de vingt-huit centimètres, en bois d'érable et contenant une plume d'hyppogriffe. ♠ Maison désirée : Gryffondor, nom d'un sabot d'or ! PERSONNALITÉ ♦ Description physique : Ginny est une enfant que l'on remarque en première instance par sa longue chevelure rousse, éclatante. Lisses, elle les laisse glisser le long de son dos ou les rassemble en une simple queue de cheval. Ses yeux bruns, s'ils sont presque toujours brillants de malice, sont pourtant souvent bouffis par la fatigue. Pour le reste, son visage est celui de n'importe quelle petite fille de onze ans : une peau de bébé, des traits fins mais marqués, de légères fossettes quand elle sourit... Elle ressemble beaucoup à Fred et Georges, particulièrement lorsqu'elle est crispée, bien plus qu'à Ron. Elle possède une physionomie facile, ne prenant pas un gramme quand bien même elle engloutirait toute la table de la rentrée de Poudlard. Svelte, mais pas frêle pour un sou, notre demoiselle est effectivement sportive malgré les efforts de ses frères pour la tenir loin des balais volants sur lesquels ils jouaient au Quidditch. Ginny porte toujours l'uniforme à Poudlard, y compris les dimanches et jours fériés. Hors du Château, elle hérite des vêtements désormais trop petits pour ses frères, ce qui lui confère un aspect masculin. Samère remédie à cela en lui tricotant un nombre effroyable de pull-overs aux couleurs dites "féminines" : pull rose, chandail vert à fleurs bleues, bonnet strié jaune et rose... Du haut de ses onze ans, il faut bien avouer que, de toute façon, son apparence est pour l'instant le cadet de ses soucis.
♦ Qualités & Défauts : Qualité première de sa maison, Ginny est évidemment courageuse. Dans son cas, pourtant, cela est tellement poussé que c'en devient de la témérité. Elle fonce tête baissée sans analyser le problème, et évalue les dégâts de façon postérieur. La peur est un sentiment qu'elle croit inconnu, mais qu'elle découvrira malheureusement plus vite que prévu grâce à Tom Jedusor. Persévérante, presque têtue, elle a la manie de finir ce qu'elle a commencé, et ce même dans le cas où elle se rendrait compte en cours de route que ce n'est finalement pas une si bonne idée. Cela s'avère un précieux atout pour tout ce qui concerne sa scolarité, entre autre, mais peut aussi avoir des dommages collatéraux regrettables. Bavarde, rieuse, notre rouquine se fait rapidement des amis. Elle est toujours de bonne humeur et aime répandre son sourire sur les visages de ses amis. Une facette cachée de son être apparait pourtant en présence d'Harry Potter, le célèbre Harry Potter et meilleur ami de son frère : la timidité, que l'on croit au premier abord externe à l'organisme de l'enfant. Elle devient alors rouge comme une tomate, ne peut pas prononcer un seul mot sans bégayer, casse tout sur son passage. Elle a donc tendance à fuir l'Elu (quel jeu de mot!). Loyale, Ginny ne lâche jamais ceux qu'elle aime. Détestant les inégalités, elle ira toujours vers ceux qui sont isolés, comme Neville Londubat. Elle-même a trop souvent souffert des moqueries dues à son rang social. Elle possède un caractère fort, tranché. Si elle ne veut pas, elle ne veut pas, et n'est pas prête de lâcher l'affaire. Si elle sait se contenir, elle n'ira jamais lécher les bottes de Rogue ou même de MacGonagall, et le fera savoir si elle n'est pas contente. Elle déteste l'hypocrisie et est elle-même un exemple parfait de sincérité... Enfin, pour l'instant. Elle reste une très bonne actrice qui saura rapidement tirer son épingle du jeu. Elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds et déteste être la victime. Au milieu de ses six frères, elle a rapidement su s'imposer et se défendre, tendre des pièges en réponse aux humiliations que lui imposent les jumeaux. Elle est celle de la fratrie qui leur ressemble le plus pour le côté farceur, et n'hésitera pas à l'avenir à user et abuser de leurs inventions.
♦ Signe particulier : C'est la seule fille d'une fratrie de six. Cela se ressent dans son comportement presque garçon manqué, et dans son attitude vis-à-vis des garçons. A part avec Harry, elle est effectivement très à l'aise avec la gente masculine, contrairement à certaines filles. Issue d'une famille pauvre, elle n'a jamais le dernier truc à la mode ou à la pointe de la technique, mais s'en contre-fiche. Elle préfère mille fois être une Weasley qu'une Malfoy, nom d'une plume ! Très douée de la baguette et au vol, un peu moins en botanique, brêle en Potions et en Histoire de la Magie. Somme toute, une fillette d'action plus que de réflexion. Elle fréquente les laissés-pour-compte de Poudlard : Neville, Luna Lovegood, autant que la fameuse intello Hermione (qui deviendra d'ailleurs rapidement sa meilleure amie et, en tout cas, confidente).
♦ Histoire : Ginevra Molly Weasley est la petite dernière de la fameuse famille Weasley, les Sang-Purs ayant, selon certain, abandonné la dignité que cela impliquait, salissant leur sang. Arthur Weasley, patriarche de la famille et passionné de culture Moldue, serait bien tenté de leur envoyer un vilain sort au nez, à ces sorciers qui se permettent d'établir une hiérarchie de cette façon. Globalement, l'attroupement de roux se fiche des regards que l'on pose sur elle, et elle le vit bien. Ginny a donc grandi dans une atmosphère détendue, chaleureuse. Entre des parents aimants, un père sans autorité, des frères qui mettent la zizanie dans la cuisine rangée de la mère qui, comme d'habitude, crie et se fâche tout rouge avant d'embrasser ses deux coquins, un coincé monsieur Parfait - il en faut un partout... -, un aventurier appréciateur de dragons,... Proche des jumeaux, la gamine passe son temps à faire des farces à sa famille, vole les balais volants auxquels on lui interdit l'accès, écoute aux portes, et j'en passe et des meilleures.
Tout commença alors que Ginny avait dix ans. Comme chaque année, elle accompagnait ses frères au Poudlard Express en cette matinée fraiche de septembre. King's Cross était remplie de monde, et personne ne remarquait les sorciers qui traversaient le mur pour arriver Quai 9 3/4. Cette année, Ron allait rejoindre le Château pour la première fois. La petite benjamine se mettait facilement à sa place étant donné qu'elle y serait l'an suivant. C'était à la fois terrifiant, et excitant. Surtout le deuxième, en fait. Les deux jumeaux franchirent la barrière magique après une nouvelle boutade à l'attention de leur mère, éprouvée comme toujours de les voir partir. Alors que Ron s'élançait à son tour, un garçon brun aux yeux verts, charmant, se présenta aux Weasley. Le son de sa voix parvint aux oreilles de Ginny en un murmure mélodieux. Un sourire béas se dessina sur son visage avant qu'elle ne s'en rende compte et rougisse comme une pivoine. Heureusement, trop occupés à expliquer comment la barrière magique fonctionnait à l'inconnu, personne ne remarqua son embarras. Elle se parât alors de son sourire le plus agréable, du dire de sa mère, et lui souhaita bon courage au moment où il s'élançait vers le mur. Puis tout s'enchaina très rapidement, et le train disparut du quai 9 3/4, direction Poudlard. Ginerva rentra seule au Terrier en compagnie de ses parents. Ne vous inquiétez pas, les années à la maison n'étaient pas perdues. Outre les apprentissages élémentaires communs aux Moldus - lecture, écriture, des bases en maths.. - Ginny avait un droit exceptionnel de lancer quelques petits sorts basiques, ce qu'elle ne manquait pas de faire depuis l'arrivée de ses pouvoirs. De plus, les inventions farfelues de son père occupaient une partie de ses semaines, sans l'accord maternel évidemment (Molly aurait piqué une de ces crises de nerf si elle avait su que Arthur emmenait la petite dans son garage et lui montrait comment fonctionnait une prise électrique, la voiture trafiquée, et autres objets que le sorcier entassait là sans en comprendre forcément l'utilité). Somme toute, dans un pareil foyer, même sans ses frères pour vous embêter, on trouve moyen de s'occuper. Toujours. Et puis, il y avait les nouvelles de Poudlard qui arrivaient par les rares lettres des studieux petits sorciers, et par le journal de la communauté magique, la Gazette du Sorcier. Comme tout secret, le sauvetage de la pierre philosophale par Harry, Ron et Hermione en fit la première de couverture alors que l'année touchait à sa fin. La photo, de très mauvaise qualité, du petit héros, suffit à faire fantasmer la rouquine pendant les semaines suivantes. Elle avait accroché l'image dans sa chambre. Et en août, le fameux Harry Potter débarquait au Terrier. Vous n'imaginez pas l'émotion pour notre chère enfant. Démunie face à cet ouragan de charme, elle devint l'ombre d'elle-même. Jamais dans la même pièce que l'Elu, à part pour manger, soudainement silencieuse... Il faudra plusieurs années avant qu'elle parvienne à se comporter normalement en la présence du petit sorcier à la cicatrice.
Septembre arriva comme une délivrance pour la petite rousse. Entre l'angoisse extatique de croiser Harry à chaque fois qu'elle sortait de sa chambre, et l'excitation montante à l'idée de se rendre au Château, ce jour fut pour elle une bénédiction. Pour la première fois, elle se rendit sur le Quai 9 3/4 avec son propre chariot, ses livres, ses parchemins, ses plumes... et un petit invité surprise, le journal intime de TEJ. Rien que dans le train, elle se fit des amis, entre autre l'étrange Luna Lovegood, et retrouva Hermione avec qui elle s'entendait très bien. Bien qu'elle se demanda plusieurs fois où pouvaient bien être Ron et Harry, elle était loin de s'imaginer qu'ils survolaient le train dans la fameuse voiture que son père lui montrait secrètement quelques mois auparavant..
Cher journal, C'est mon premier jour à Poudlard, et je suis à la fois terrifiée et excitée. Le Choixpeau m'a répartie à Gryffondor, comme tous mes frères ! J'ai tellement hate de commencer les cours. Je vais vite me coucher pour être en forme demain. On commence par Métamorphose, il parait que MacGonagall est terrible... Ginny. « Ma petite Ginny, Je suis ravi que Poudlard te plaise. Cette année, tu vas découvrir le Château et je suis sur que tu vas l'adorer, cela dépassera tout ce que tes frères ont pu te raconter. Dors bien ma douce, à demain, Ton journal. » Ginny écarquilla les yeux. Les mots d'encre noire apparaissaient et disparaissaient au fur et à mesure qu'elle les lisait. Bientôt, sa propre écriture disparut également. Elle cacha le journal sous son oreiller, d'un geste instinctif, et s'allongea dessus. En trois secondes, elle dormait.
Cher journal, Les cours de Binns sont vraiment soporifiques ! Je te jure que je fais des efforts, mais c'est strictement impossible de ne pas s'endormir quand il parle. « Oh, je te crois ma chère enfant. Je pourrais te raconter pleins de choses sur l'Histoire de la Magie, je suis sur que ça t'intéressait si ce fantôme ne t'endormait pas. » Toi, au moins, tu me comprends. Maman n'arrête pas de me menacer d'envoyer une Gueulante, comme à Ron, si je n'ai pas une excellente note au prochain devoir. C'est impossible ! A quoi que... « Que ? » ... Tu voudrais bien m'aider ? « Évidemment, ma Ginny-Ginnette ! Mais tu me devras une faveur, alors... » Ginny se leva, quitta sa chambre après avoir soigneusement rangé le Journal, et marcha d'un pas mécanique dans les couloirs de Poudlard... Le soir-même, un message de sang fut retrouvé sur le mur du Château. Ennemies of the heir, beware. EXEMPLE DE RP - Spoiler:
Allongée sur le grand lit inconfortable du motel, les yeux clos, Bambie écoutait de la musique par les petits écouteurs de son MP3 niché au creux de sa gorge. Elle n'était vêtue que d'un simple string bleu pâle et d'un soutien-gorge de la même teinte à peine rembourré qui relevait ses deux seins en deux montagnes parfaites. Elle avait fini sa journée par un de ces hommes qui ont décidé par un moyen détourné d'assumer leurs désirs : ils ne la voulaient pas en dentelles, affriolante à souhait, trop sensuelle. Ils la voulaient innocente, enfantine, rieuse. Dans la plupart des cas, ces hommes étaient d'affreux pédophiles, et c'étaient avec eux qu'elle avait le plus de mal. Elle devait être enfant et femme à la fois, obéissante dans une douce naïveté tout en sachant pertinemment ce qu'ils voulaient... Mais avec lui, c'était différent. Il faisait un espèce de déni, une fixation malsaine sur sa fille morte dans le même accident que sa femme, plusieurs années auparavant. Il la traitait comme un père, puis lui faisait l'amour si tendrement, en la regardant droit dans les yeux. Il ne demandait rien d'extravagant. Pour autant, cela restait malsain, terriblement malsain, et la jeune prostituée prenait toujours un long moment pour évacuer le malaise de son corps. Ce jour-là, les morceaux avaient beau s'enchainer dans ses oreilles, la boule qu'elle avait au ventre ne voulait pas partir. Elle pensait à tout et n'importe quoi pour se changer les idées. Le shopping, les conseils d'Isobel, une robe qu'elle avait vu dans la vitrine de Joy, un nuage rose, Kate, une tablette de chocolat, les clients du lendemain, le bilan financier d'aujourd'hui, Candice, les yeux de Candice explosés par les merdes qu'elle s'injectait, fumait ou sniffait, le jour de l'overdose de Kate, Candice encore, et cet homme toujours, avec son regard gris, qui voyait en elle la chimère des deux femmes de sa vie. Elle frissonna, jeta sèchement l'appareil à musique à quelques centimètres d'elle et se précipita sous la douche, le visage inexpressif. La jeune femme, plus enfant que jamais, se réfugia sous le jet d'eau brulante, assise sur la petite surface de la douche, la tête dans les genoux. Elle finit par imposer à son esprit le sublime visage de Candice plutôt que le regard tendre du client.
Une frêle silhouette se déplaçait dans le quartier Nord de Chicago. Elle était passé par chez elle afin de déposer ses sous-vêtements sales de la journée, et de se mettre dans une tenue décente. Elle ne comptait pas se rendre chez la belle rousse en mini-robe noire moulante et talons en plastique, jamais. Au lieu de cela, c'est une jeune fille passe-partout qui se glissa dans la rue de mademoiselle Harlow. Un petit sourire s'était glissé sur les fines lèvres de Bambie, mais il ne fallait qu'un petit rien pour qu'il disparut. D'un geste automatique, le geste de l'habitude, la jeune femme tapa le code afin d'entrer dans la bâtisse, puis grimpa les escaliers quatre à quatre à un rythme soutenu. Sur le palier de l'avant-dernier étage, elle croisa une gamine. Elle sortait de chez Candice, c'était obligé. Elle ne sortait pas d'un des appartements de ce palier ci. Et elle avait les pupilles d'une fille qui vient de se piquer. La prostituée la fusilla du regard, la bousculant sans ménagement, ignorant ses protestations, et grimpa le dernier étage avec la sauvagerie d'une jalousie inappropriée. Après tout, elle même couchait avec pleins d'autres filles, sans compter les clients. Et Candice et elle n'avaient jamais signé de contrat. Elles étaient de simples amies. Des amies particulières. Candice avait un statut bien à elle parmi les amies de Bambie, elles se portaient une affection marquée par leur histoire commune. Et puis, elles faisaient souvent l'amour ensemble, et il fallait avouer qu'elle aimait cela. Ce qu'elles avaient était unique. Certes, mais elles n'étaient pas en couple, elles n'étaient pas amoureuses, elles n'étaient pas exclusives. La jeune femme se calma juste à l'instant où elle passa par la porte encore ouverte de l'appartement. La main délicate de Candice attrapa son bras et l'attira à elle avec force mais douceur. La porte se referma dans le dos de la prostituée, avant que la belle rousse ne lui adresse un sourire tendre et l'embrasse. Lâchant son sac sous l'assaut de sensations qui arrivait en elle, Bambie ferma les paupières en rendant son baiser à la jeune femme. Le noeud dans son ventre se défit en quelques secondes, remplacé en ce même endroit par un espèce de pétillement doux. Quelque chose d'étrange, d'indescriptible, qui partait de son ventre, remontait dans sa poitrine, la frappait au coeur, s'enroulait autour de leurs lèvres scellées, étourdissait son esprit... L'étreinte se termina avec cette même douceur brusque qui l'avait commencé, et Bambie sourit à son amie. Sans lâcher sa main, elle se baissa pour ramasser son sac à main et se dirigea vers le canapé, tirant derrière elle la belle rousse. Ce geste, à la fois enfantin et sensuel, témoignait à vrai dire parfaitement de ce que pensait la jeune femme aux cheveux châtains. Comme souvent, comme toujours pourrait-on dire, elle se sentait bien quand elles étaient ensemble. Elle ne se prenait pas la tête, leur lien était acquis. Il faudrait plus qu'un torrent pour séparer les deux jeunes femmes. Mais Candice était sous l'effet de la drogue, et cela elle le savait. Et puis, cette fille dans l'escalier... « C'était qui, la fille dans l'escalier ? » Sa mine boudeuse s'accordait bien avec ce ton accusateur de petite fille. Elle regardait ses pieds recroquevillés sous ses fesses, déchaussés rapidement. La main de son hôte était toujours dans sa main, et la pression qu'elle exerçait dessus augmenta quand leurs regards se croisèrent. « J'ai pas envie de te perdre, aussi... » Les mots, murmurés plus pour elle même qu'autre chose, n'échapperaient pourtant pas aux fines oreilles de Candice.
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