[Oct.] Retenue : Harry Potter [n°1]

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Dolores Ombrage venait d'avoir une journée des plus pénible. Elle entra donc dans son bureau en voulant se détendre mais se souvint alors qu'elle avait une retenue avec Harry Potter. Plus tôt dans la matinée, lors de son cours de défense contre les forces du mal, le petit protégé de Minerva McGonagall avait manqué de respect et avait menacé la Grande Inquisitrice, pensant lui faire peur. Malheureusement cela avait échoué et Dolores Ombrage lui avait donné une retenue.

Elle se dirigea donc vers la petite table où Harry Potter avait déjà plusieurs fois laissé des taches du sang dégoulinant sur sa main. Elle posa une plume, toute nouvelle et qui faisait encore plus mal. Décidément le commerce actuel était de plus en plus doué en moyens de torture. La Grande Inquisitrice posa un morceau de parchemin sur la table et alla s'asseoir à son bureau.

Elle prépara ensuite une tasse de thé. Lorsque celui fut enfin prêt et s'installa confortablement dans son grand fauteuil et rajouta quatre cuillerées de sucre roux. Pendant qu'elle dégustait sa tasse de thé bien sucrée, trois coups retentirent derrière la porte. Le professeur Ombrage attendit quelques secondes et avec le ton des plus poli qu'elle pouvait elle prononça :

"Entrez !"

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Harry Potter était en marche vers le bureau d'Ombrage... il avait prit une heure de retenue car il avait en quelque sorte "menacer" Ombrage. Il avait aussi fait perdre encore 10 points à Gryffondor et il savait que certains Gryffondors lui en voulait déjà. C'était une manie chez Harry de faire perdre des points à sa maison même s'il lui arrivait d'en gagner beaucoup d'un coup.

Il était à présent devant la porte d'Ombrage. Il savait ce qui l'attendait derrière cette porte... elle lui donnerait une plume "spéciale" pour écrire une punition qui s'écrirait au fur et à mesure dans sa main. C'était une douleur considérable même s'il en avait vu des pires mais le problème était que cette douleur se répétait souvent car il avait régulièrement des retenues avec l'Inquisitrice.

Il frappa à la porte avec trois petits coups. La voix qu'il détestait tant et qui l'énervait tant venait de lui dire d'entrer ce qui fit immédiatement Harry sans enthousiasme. Il regardait la salle et Ombrage buvant son thé. Il ne voulait pas lui dire bonsoir mais il savait que cela ne ferait qu'empirer les choses. C'est donc à contre coeur que l'Elu la salua

Bonsoir professeur...

Le Survivant sentait que la soirée allait être longue. Beaucoup de devoirs l'attendaient et il devrait les faire une fois sortit de sa retenue. Il espérait seulement qu'Ombrage le laisse partir plus tôt pour une fois pour qu'il ait le temps de finir ses devoirs et de pouvoir se reposer.

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Le professeur Ombrage observa Harry Potter entrer. Elle lui fit un grand sourire et se releva.

"Bonsoir mon cher monsieur Potter... Vous allez faire des lignes ce soir, je pense que celà ne vous étonne pas. Vous allez écrire "Je ne dois pas menacer la Grande Inquisitrice de Poudlard"."

Elle regarda sa montre, il était 20 heures. Combien de temps allait-elle garder le jeune gryffondor, elle ne le savait pas. Mais en revanche, ce qu'elle savait c'était que sa toute nouvelle plume faisait encore plus mal que les anciennes et Harry Potter allait pouvoir l'inaugurer.

Dolores Ombrage désigna la petite table d'un signe de tête et fit signe à Harry de s'asseoir. Un morceau de parchemin était déjà posé et la célèbre plume l'attendait également.

"Allez y commencez... Et sachez que ce n'est pas parce que vous êtes dans la maisons de Minerva McGonagall que vous devez vous considérer comme priviligié."

Elle regagna sa place, dans son gros fauteuil et attendit que Harry Potter commence sa retenue.

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Harry détestait les sourires que lui faisaient Ombrage à chaque retenu et la tradition voulait qu'elle recommença pour cette fois encore. Ombrage lui disait qu'il ne devait surement pas s'étonner de copier des lignes. Sans répondre le Gryffondor s'installa sur la table ou lui fit signe Ombrage. Il prit la plume qui était déjà posé sur la table où il s'était installé et commença à écrire ce que le professeur Ombrage lui avait dictée.

Une douleur habituelle le picota lorsqu'il écrivit "Je ne dois pas menacer la Grande Inquisitrice de Poudlard". Bougeant légèrement la main comme pour se soulager il continua à écrire n'ayant pas fait attention à la remarque d'Ombrage lui disant qu'il ne devait pas se croire privilégié. Bien sur Harry ne s'était jamais cru privilégié surtout par McGonagall mais répondre ne ferait qu'envenimer les choses et ça, il le savait.

Harry avait à présent écrit 40 fois "Je ne dois pas menacer la Grande Inquisitrice de Poudlard" et sa main lui piquait atrocement. Du sang coulait de ces veines. Harry ne savait pas l'heure mais il savait qu'il devait déjà être assez tard car il s'était souvent arrêté quelques secondes pour reposer sa main qui le faisait souffrir.

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Dolores Ombrage commençait à savourer son thé fumant dans lequel elle venait de rajouter cinq cuillérées de sucre roux. La Grande Inquisitrice connaissait tous les secrets du thé et se savait imbattable sur ce point là. Tout en observant Harry Potter qui commençait à écrire en ressentant les habituelles douleurs dans la main gauche, elle se leva pour aller chercher dans la pièce d’à côté un livre rose qui contenait la meilleure façon de faire le thé. Le professeur Ombrage le prit et se mit à le lire à voix forte, dans le but certains de déranger le jeune gryffondor et de l’embrouiller dans ce qu’il écrivait afin de pouvoir le faire recommencer.

« Préparer votre théière et vos tasses à recevoir la liqueur. Pour cela versez dedans de l’eau bouillante, cette eau est dite " l’eau d’annonce ". Ceci en les échaudant, évitera un choc thermique et gardera la liqueur chaude plus longtemps. Après quelques instants retirez l’eau " d’annonce " de la théière. Mettez alors dans votre théière la juste quantité de thé. Laissez quelques minutes les feuilles. Dès cet instant, dans ces vapeurs elles commencent à s’ouvrir et à libérer leurs parfums. Versez de l’eau amenée à juste température mais jamais d’eau bouillante car elle casserait votre liqueur. Faites courir le temps nécessaire selon le thé : le temps de pose. Lorsque vous êtes parvenu au temps juste arrêtez l’infusion en retirant les feuilles du contact de l’eau. Sinon votre liqueur tomberait en excès… »

Tout en lisant sa recette à haute voix, elle jetait de temps à autre des regards sur le jeune gryffondor. Visiblement celui-ci écrivait toujours. La Grande Inquisitrice tournait sans relâche les feuilles de son manuel et lisait les pages les unes après les autres, avec un ton mielleux et une voix de plus en plus enthousiaste, comme si la torture de Harry Potter lui faisait un bien immense.

Trois heures passèrent et 23 coups se firent entendre de l’horloge située derrière le canapé rose du professeur Ombrage, près de la porte. Les chats dans les assiettes de porcelaines dormaient quasiment tous, sauf un chat siamois qui fixait Harry Potter avec un méchant œil.

« … Un thé trop chaud ne s’exprime pas pleinement. Préférez le déguster plutôt tiède-chaud quand son bouquet s’épanouit. Alors, en attendant que votre liqueur se révèle, humez son délicat et si éphémère parfum. »

Dolores Ombrage venait de terminer sa 214ème page et s’avoua satisfaite de sa lecture sur la préparation d’une bonne tasse de thé. Enfin elle se leva et se dirigea vers Harry Potter qui avait la main en sang, recouverte de cicatrices. N’importe quelle personne humaine se serait attendrit devant ce spectacle atroce. Dolores observa la main.

« Il faut que le message pénètre encore un peu plus… »

Et elle continua d’observer le jeune gryffondor d’un air de défit.

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La douleur sur la main de Harry devenait de plus en plus intense, de moins en moins supportable mais il ne s'arrêta pas pour autant de continuer d'écrire "Je ne dois pas dire de mensonges". Ombrage commença ensuite à lire quelque chose sur les théières. Le but de la professeur et Grande Inquisitrice consistait sans doute à déconcentrer Harry lorsqu'il écrivait et si cela était la vraie raison même si Harry n'en voyait pas d'autre, cela marchait très bien. En effet ce dernier raturé sur sa copie car il faisait des fautes : il changeait parfois certains mots ou faisaient des fautes d'orthographes qu'Ombrage n'aurait pas acceptées.

Le temps était infiniment long et Harry se demandait si cette retenue allait bientôt se terminer pour qu'il puisse se coucher immédiatement après avoir quitté le bureau de l'Inquisitrice. La main de Harry était ensanglantée. Ombrage se dirigeait vers lui et regardait sa main... Le Survivant pensait qu'elle le laisserai partir à présent maintenant que plusieurs heures sans doute, étaient passées mais il se trompait. Elle lui dit de continuer, Harry leva la tête vers elle et lui répondit avc le même air de défi

Très bien...

Et il se replongea dans sa punition avec son autre main car sa main ensanglantée lui faisait trop mal pour qu'il puisse continueravec cette dernière. Même si Harry ne montrait pas le moindre signe de fatigue devant Ombrage il n'en demeurait pas moins qu'il continuer à espérer a fin de cette retenue qui était si longue et douloureuse.

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Dolorès Ombrage eut un sourire. La nuit était maintenant tombée depuis longtemps et elle ne semblait pas s’en apercevoir. Elle allait montrer à ce jeune gryffondor qui commandait à Poudlard ! Jamais il n’oublierait cette retenue, cela était sûr. Dolorès Ombrage ferait régner l’ordre même si c’était la dernière chose qu’elle devait faire dans sa vie.

« Et bien continuez mon cher monsieur Potter… Je pense voyez vous que vos mensonges ne devraient plus jamais sortir de votre bouche. Et peut-être qu’une fois que vos mains seront trop ensanglantées nous pourrons utiliser d’autres parties de votre corps. »

Un autre sourire apparut sur son visage de crapaud. Visiblement elle prenait beaucoup de plaisir à cette retenue et ne voulait pas l’arrêter. Elle retourna s’asseoir à son bureau et sortit une pile de copies qu’elle commença à corriger en raturant beaucoup de phrases. Deux heures passèrent ainsi et la pendule rose dans le bureau du professeur de défense contre les forces du mal indiquait à présent une heure du matin.

Dolorès Ombrage ne semblait même plus faire attention à Harry et continuait inlassablement à corriger ses parchemins.

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Harry continuait d'écrire avec sa deuxième main qui devenait de plus en plus douloureuse à mesure que le temps passait. Il lâcha quelques instants sa main pour la reposer alors qu'il arrivait de moins en moins à écrire avec cette dernière. Sa première main lui faisait toujours aussi mal et la deuxième ne pourrait plus écrire encore longtemps à cause de la douleur que ressentait Harry lorsqu'il écrivait. Il était si énervé à présent, cela faisait plus que 2 ou 3 heures au moins qu'il continuait à écrire "Je ne dois pas dire de mesonges" et Ombrage ne le relâcher toujours pas ! Elle lui disait ensuite qu'une fois que sa deuxième main ne pourrait plus écrire il utiliserait une autre partie de son corps ce qui agaça encore plus Harry qui répondit séchement

Désolé professeur de vous décevoir mais je ne sais pas écrire avec mes pieds !

Comment voulait-elle qu'il écrive avec une autre partie de son corps alors qu'il n'y avait que les mains qui pouvaient écrire. Elle devenait complètement folle et insensible encore plus que d'habitude. Le Gryffondor regarda la pendule de la prof... la pendule affichait 1 heure du matin ! Il n'en pouvait plus. Ses mains étaient tellement ensanglantées que des gouttes de sang tombaient sur sa punition ce qui la rendait illisible et sale. Allait-elle au moins relâcher l'Elu ? Il avait cours le lendemain et il ne pouvait pas se permettre d'être en retard à son premier cours du matin. Il voulait dire à Ombrage de le laisser partir mais il été bien trop fier pour abandonnner devant elle qui n'attendait que ça.

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Dolorès Ombrage se prélassait sur son fauteuil et observa le jeune gryffondor, les mains en sang et qui avait de plus en plus de mal à faire face à la douleur. Mais visiblement celui-ci n’avait pas compris que l’on ne devait pas répondre mal à la Grande Inquisitrice de Poudlard car Dolorès fit une remarque comme quoi lorsque la douleur sur les mains seraient trop insupportable, les coupures pourraient s’appliquer sur d’autres parties de son corps.

Harry Potter a écrit:: Désolé professeur de vous décevoir mais je ne sais pas écrire avec mes pieds !

Dolorès Ombrage le fusilla du regard. Comment osait-il ? Visiblement le message n’avait pas aussi bien passé que le professeur de défense contre les forces du mal l’avait espéré. Elle eut un sourire carnassier et se leva avant de s’approcher du jeune homme.

« ASSEZ ! Pour qui vous prenez vous ! Ce n’est pas un espèce de cafard dans votre genre qui se soustraira à l’autorité du ministère de la magie. Maintenant vous allez écrire cette nouvelle phrase : je dois respect et obéissance à la Grande Inquisitrice de Poudlard ! Je pense que ce second message devrait s’inscrire plus facilement dans votre chaire. »

Elle se mit à rire, du même petit rire bête qu’elle utilisait pour montrer sa domination sur les autres ainsi que sa grande cruauté. Visiblement elle aimait faire souffrir les gens. Ombrage retourna à son bureau et la pendule affichait maintenant deux heures du matin et le professeur de défense contre les forces du mal ne semblait pas s’en rendre compte.

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Harry ne pouvait plus supporter la douleur que ses mains lui infligeaient ainsi qu'Ombrage qui le faisait continuer sans se soucier de lui. Elle n'avait pas apprécié la remarque de Harry ce qui était normal après tout, ce n'était pas fait pour lui plaire. Il n'en pouvait plus, il était fatiguer, ses mains lui faisaient douloureusement mal mais Ombrage voulait qu'il continue encore alors qu'il était deux heures du matin. De plus, elle le traita de cafard ce qui déplut à Harry. Il n'arrivait plus à controler sa haine qui augementait au fur et à mesure que la nuit passait et qu'il continuait d'écrire. C'en était trop. Il répondit sèchement ensuite sans se soucier des problèmes qu'il aurait par la suite mais il ne pouvait plus contenir sa haine à présent.

Et ce n'est pas vous qui allait m'empêcher de dormir ! Il est deux heures du matin et j'ai cours tôt dès ce matin. Je ne veux pas avoir de problèmes avec les autres professeurs à cause de vous. Je désapprouve en plus totalement les manière du Ministère de la Magie ainsi que de son Ministre qui ne vaut plus rien maintenant que Voldemort est revenu !

Harry savait à présent qu'il ne finirait certainement pas cette année à Poudlard après ce qu'il venait de dire mais il s'en fichait. Il devait de toute façon partir à la recherche de l'Horcruxe même s'il n'avait aucune idée par où commencer. Les cours ne lui srvait plus à rien maintenant que le lus grand mage noir du siècle était de retour parmi les sorciers et il réussirait bien un jour à entrer à Poulard surtout que maintenant qu'il n'y avait plus Dumbledore pour lui faire peur comme avant. L'Elu allait soit être viré, soit avoir une sanction très sévère mais dans les deux cas il avait une solution. Rejoindre les membres de l'Ordre du Phénix et demander des renseignements sur Voldemort puis partir seul à la chasse aux Horcruxes. Hermione et Ron devait continuer leurs études ici et ne devait pas sacrifier leur vie pour une quête aussi dangereuse.

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On aurait dit que Dolorès Ombrage venait de se recevoir un coup de poignard dans le ventre. Son petit sourire de suffisance disparut lorsqu’elle entendit Harry parler du Ministère de la Magie, précédant ainsi l’horrible grimace qu’elle afficha en attendant le nom de Voldemort. Ses petits yeux furieux observèrent ceux de Harry Potter avec fureur. Comment osait-il. La main droite de la Grande Inquisitrice, avec de vieilles bagues et aux doigts boudinés gifla le jeune gryffondor avec force.

« COMMENT OSEZ-VOUS !! 10 points de moins à Gryffondor ! J’AI POURTANT ESSAYE DE VOUS INCULQUER LE RESPECT QUE VOUS ME DEVEZ… Mais visiblement vous n’en faites qu’à votre tête comme si ce cher Albus Dumbledore était toujours là pour vous couvrir. »

Elle fit les cent pas dans son bureau, comme si elle réfléchissait à elle-même et comme si elle s’apprêtait à commettre le plus grand acte de toute sa vie. Visiblement le jeune gryffondor allait passer un mauvais quart d’heure. Le professeur de Défense contre les forces du mal s’approcha alors de Harry Potter et lui prit sa baguette magique d’un geste vif et la rangea dans sa poche, en tirant sa propre baguette magique, courte avec des perles roses.

« Concernant un problème d’autorité et le débordement que vous avez manifesté à mon égard, je n’ai pas d’autres choix que de vous affliger une punition exemplaire… Ce que Cornélius ignore ne peut de toute façon pas lui faire de tord… Je pense qu’après cela vous ne causerez plus aucun problème au Ministère… »

Elle continua à faire les cents pas dans son bureau et s’arrêta brusquement devant Harry, les yeux soudain exorbités. Elle alla verrouiller la porte de son bureau et eut un léger sourire crispé.

« Le sortilège de Doloris devrait sans doute vous amadouer mon cher monsieur Potter… »

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Harry regardait Ombrage ave colère même si cette dernière était encore plus en colère que lui vu l'expression de son visage. Ombrage le gifla à la grande surprise de Harry qui ne s'était pas préparé à un tel coup. Il était encore plus énervé à présent contre l'Inquisitrie même si cela paraissait impossible d'éprouver tant de colère. Il dût se retenir de répondre à Ombrage une nouvelle fois lorsqu'elle parla de Dumbledore en lui rappelant que ce dernier était mort même si Harry le savait déjà.
L'inquisitrice faisait les cent pas. Elle réfléchissait sûrement à la qu'elle allait lui donner. Elle s'approcha de lui, il s'attendait à ce qu'elle lui donne une autre gifle mais elle fit pire... elle lui prit sa baguette magique ! Il lui dit d'un ton sec

Rendez moi ma baguette.

Il ne comprenait rien à son charabia... qu'après une bonne punition il ne causeait plus de problèmes au Ministère de la Magie mais il ne se laisserait pas faire. Il en avait plus qu'assez de cette prof qui imposer des règles et donner des punitions douloureuses alors qu'Harry disait la vérité sur le retour de Voldemort. Elle s'arrêta brusquement devant lui puis verrouilla la porte qui menait au ouloir et donc à la sortie. Elle lui révéla ensuite que le sortilège du Doloris allait le calmer. Elle n'allait quand même pas lui lancer ce sortilège qui était un sortilège impardonnable qui plus est ! Il n'avait pas vraiment pur même si l'idée de se faire torturer ne lui plaisait pas du tout.

Vous n'avez pas le droit !

Il savait que cela n'arrêterait pas Ombrage mis il fallait tenter. Il cherchait une sortie autr que la porte mais il n'en trouva point. Il fallait qu'il récupère sa baguette magique mais il ne pouvait tout de même pas la prendre à Ombrage qui faisait parti du Ministère ! Enfin il avait déjà lancer un sortilège à son professeur de Potions en troisième année. Il reculait la cheminée derrière lui l'empêcha d'aller plus loin. C'était ça ! Il devait utiliser la poudre de cheminette pour s'enfuir. Il jeta un bref coup d'oeil dans le bureau d'Ombrage pour trouver de la poudre de cheminette en espérant qu'il en trouve avant qu'ombrage ne lui jette le sort et l'en empêche.

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Dolorès Ombrage fixa longuement Harry Potter comme si elle calculait les conséquences de l’action qu’elle s’apprêtait à faire. Soudain, à la grande surprise de Harry elle se mit à rire et l’observa dans les yeux.

« Vous avez sans doute raison bien que je n’aurais aucun mal à parvenir à m’infiltrer dans le Ministère et à falsifier les informations concernant le sortilège que je vous aurais lancé. »

Elle observa ensuite son horloge. Visiblement elle allait enfin mettre un terme à la retenue. Elle se dirigea alors jusqu’à son bureau où elle prit place. Elle saisit un morceau de parchemin et une plume et commença à écrire un mot avec beaucoup de soin. Lorsqu’elle eut terminé, elle le posa sur le bord de son bureau et expliqua à Harry que c’était une lettre qu’elle enverrait à la directrice de Poudlard afin de lui signaler le comportement de Harry Potter qui allait sans doute passer un mauvais moment.

« Et je vous donne une nouvelle retenue pour votre comportement de ce soir. Et j’espère qu’à l’avenir vous vous tiendrez mieux en ma compagnie. »

Elle se dirigea vers le jeune gryffondor et observa ses deux mains tailladées, mutilées et qui ne laissaient rien présager de bon. Elle lui fit ensuite signe qu’il pouvait s’en aller, tout en se hâtant de se diriger vers la volière et envoyer le mot au professeur McGonagall.

[Désolé pour le petit post - je te laisse terminer le post de la retenue et ensuite je verrouillerais.]
EDIT de Minerva: Tu ne dois pas utiliser le cyan mais le violet !!

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